Depuis son passage a Pékin puis hier a Saigon, l' indignation des critiques engagés quand au fait qu' il aurait pas joué telle ou telle chanson pour des raisons politiques a fait qu'enfler. Je les invite, pour leur bonne gouverne, a ré-ecouteer son speech au Bill of rights de 1963 devant le sénateurs américain. Tout y est dit.
No comments:
Post a Comment